About the Author
MIMI MINSIEMI MABOLOKO
Je m’appelle Mimi MINSIEMI MABOLOKO
Née le 15 mai 1973 à Kinshasa en République Démocratique du Congo.
Ainée de 3 enfants, j’ai vécu entre le Congo et la Belgique grâce à une bourse que mon père a obtenu pour finaliser sa thèse de doctorat à l’ULB entre 1980 et 1990.
Diplômée de Licence en Droit Economique et Social de L’UNIKIN, j’ai brigué un poste de chargée d’Etudes à la Primature sous le gouvernement du Patriarche Antoine Gizenga.
Fondatrice et présidente du Collectif Drepanocytose Asbl de Belgique depuis 2015
Vice-présidente de ESCF, Fédération Européenne de la Drepanocytose depuis 2020
Je suis engagée dans l’associatif en vue de la sensibilisation et l’information de la drepanocytose depuis 2012.
Nous sommes très actifs sur les réseaux sociaux mais aussi auprès de plusieurs institutions médicales et sociales en Belgique.
Ce premier livre est une autobiographie. Un parcours hors normes avec la drépanocytose qui a failli m’emporter à l’âge de 3 ans à Kinshasa, capitale du Congo.
Entre mon pays d’origine la RDC et la Belgique, j’ai vécu des expériences parfois désastreuses du en grande partie à la maladie.
Les décès de mon frère et de plusieurs cousins, tous partis pour cause de crise de drepanocytose, furent plus que traumatisants.
Mais envers et contre tout, la volonté de mener le combat contre la drépanocytose fut mon moteur en m’accrochant à mon rêve d’une vie meilleure loin des préjugés.
La société congolaise peut s’avérer sans pitié face aux personnes malades.
Les tabous et la méchanceté gratuite liés à l’ignorance sont le lot quotidien des enfants atteints de drépanocytose surnommés “Akufa lobi” ou moribond et traités d’enfants sorciers même au sein de leurs propres familles.
La seule solution pour moi était de partir pour soigner la douleur de mon corps et de mon âme.
En 2009 j’ai quitté ma famille et mon pays natal pour sauver ma vie. J’avais décidé de retourner en Belgique, pays de mon enfance heureuse.
Plus que tout, je voudrais briser le silence et l’ignorance qui font plus de maux que la drepanocytose. Etre la voix des sans voix.
J’espère que ce premier livre rencontrera le succès qui me permettra d’en publier d’autres.
Toujours ouverte, j’accueillerai vos avis avec joie.
J’en profite pour vous présenter mes meilleurs voeux en cette fin d’année!
Bien à vous